Le dispositif Girardin outremer a pour unique finalité de réduire l’impôt sur le revenu ou l’impôt sur les sociétés de l’investisseur. Cette réduction est conséquente car couvre la totalité du montant de sa mise de départ. Cette défiscalisation est même supérieure à celui-ci dans le cas du volet industriel, soit un taux avoisinant les 115%. Autrement dit, l’investisseur gagne 15% de réduction d’impôt supplémentaire. Quant au volet immobilier social, il permet non seulement de réduire son IS mais aussi de se créer un patrimoine immobilier en outremer à terme, c’est-à-dire au bout des 6 ans d’exploitation fermes. Que faut-il alors prendre en compte avant d’investir dans l’un ou l’autre de ces dispositifs ?
La situation fiscale
Vous devez avant tout considérer votre situation fiscale et réaliser une simulation afin de décider si le dispositif est réellement fait pour vous. En effet, puisque la réduction d’impôt est de plus de 100%, il n’est donc intéressant que si vous êtes fortement imposé. L’objet de l’investissement est d’ailleurs un matériel industriel qui sera financé à hauteur de 30% par votre apport personnel, les 45% étant complétés par la banque et les 25% par l’entreprise ultramarine associée qui louera ledit matériel pendant une durée de 5 ans.
Le niveau d’acceptation des risques
Le Girardin industriel est assorti à des risques plus élevés que le Girardin IS, ce dernier étant basé sur de l’immobilier, et dont le capital est plus ou moins garanti. Par conséquent, si vous êtes peu enclin aux risques, il vaut mieux vous abstenir de placer votre argent dans ce type de dispositif, sauf si vous vous faites accompagner par un spécialiste qui propose des garanties, comme c’est le cas avec le groupe-profina.com. Celui-ci vous fait également profiter de ses solides expériences, de ses conseils ainsi que de son accompagnement et ce, quel que soit le dispositif choisi : le volet industriel ou le volet IS.